Titre complet : Revégétalisation de l'espace urbain et périurbain antillais en faveur des pollinisateurs – REVPOL

Objectif : Améliorer les stratégies de revégétalisation en favorisant les pollinisateurs

Localisation : Le Lamentin (Martinique) et Pointe-à-Pitre (Guadeloupe)

Dates : 2021-2023

Résumé : Le projet vise à améliorer les stratégies de revégétalisation en milieu urbain et périurbain (espaces verts, jardins, dents creuses, friches) dans les Antilles françaises à partir de la collecte et de l'analyse de données sur l'utilisation des plantes natives et exotiques par différentes espèces de pollinisateurs (chiroptères, oiseaux, lépidoptères), dans une démarche de science participative associant des activités d'information et de sensibilisation de publics cibles. Le projet associe deux associations antillaises (Caribaea Initiative et AMAZONA) aux communes de Pointe-à-Pitre en Guadeloupe et du Lamentin en Martinique. Les résultats acquis au sein du projet serviront à émettre des recommandations de gestion des espaces verts publics et privés dans les communes partenaires et, plus généralement, à l'échelle des Antilles.

Vidéos de présentation


Communication


Le projet a permis la création d'un guide à destination des municipalités de Guadeloupe. Il détaille les pratiques de végétalisation urbaine durables et liste les espèces à privilégier, en favorisant les plantes locales.

Différents supports ont également été créés à destination du grand public.

L'équipe du projet

Délisse Delannay

Chargée de mission projet REVPOL
Guadeloupe

Claire Maurice-Madelon

Coordinatrice du projet REVPOL
Martinique

Céline Héloïse

Stagiaire - Etudiante en master
Martinique

Elise Queslin

Directrice des programmes
Guadeloupe

Sophie Labaude

Chargée de communication
France

Sara Genta

Chargée de gestion administrative et financière
France

Partenaires du projet


Le projet REVPOL est mené en collaboration avec :

Le projet REVPOL est mené avec le soutien financier l’Union européenne – NextGenerationEU, de France Relance et de l’Office Français de la Biodiversité, dont la contribution s’élève à 143 160,00 €, soit 82 % du montant total.